TERRA SOLIDARI
 

TERRA SOLIDARI a été créée en novembre 2011, par deux jeunes juristes parisiennes.

 

Le Conseil d'administration se compose ainsi :

 

- La Présidente et co-fondatrice Chitro S (Juriste-Artiste-Traductrice)

- La Secrétaire Générale Anna I (Journaliste-Ecrivaine)

- Le Trésorier Thibault S (Entrepreneur)

- Les Conseillers Généraux Quentin de MD (Consultant) et Michel de CV (Consultant)

 

L'équipe est vaste et varie selon les projets.

Elle se compose de juristes, d'artistes, d'entrepreneurs, d'étudiants...

Plus généralement de citoyens engagés dans la défense des droits fondamentaux.

L'association compte plus d'une centaine de membres et de sympathisants aujourd'hui.

 

Tout le monde travaille bénévolement, TERRA SOLIDARI est une association à but non lucratif.

 

Notre but est de développer, de promouvoir les activités culturelles, sportives et sociales au service de l'humanité.

Nous voulons promouvoir la solidarité sous toutes ses formes, notamment en développant des activités de prévention, de formation et d'animation relatives à la culture, au sport et aux activités sociales pour les victimes des violations des droits de l'homme.

Nous travaillons avec le soutien de l'association Droit Solidarité affiliée l'Association Internationale des Juristes Démocrates (l'AIJD fondée à Paris, en 1946 par René Cassin. Elle jouit d'un statut consultatif auprès du Conseil Economique et Social des Nations-Unies, de l'UNESCO et de l'UNICEF)

Nous travaillons en partenariat avec l'ONG Acid Survivors Foundation (ASF) du Bangladesh. Nous représentons ASF en France.

Nous sommes membre du Comité des papillons. Association qui lutte contre les violences faites aux femmes pendant les conflits armés et milite pour la reconnaissance des crimes de guerre subit par les femmes de réconfort coréenne pendant la seconde guerre mondiale.

Nous soutenons des oeuvres artistiques à vocation humanitaire, à ce titre nous aidons la création de l'opéra "Love in Louisianne" de Vagh-Levine musicals.

 

Nos travaux se concentrent autour des questions de : la prise en charge des victimes du vitriolage au Bangladesh, la réhabiliation des rescapées du Rana Plaza au Bangladesh, la reconnaissance internationale des crimes de guerre commis par les militaires japonais sur les femmes de réconfort coréenne pendant la seconde guerre mondiale, un plaidoyer pour la campagne "le droit est un combat citoyen", des réfléxions sur la démocratie en France.